Collège de Gynécologie du Centre-Val-de-Loire

EPIPHARE: surrisque confirmé de grossesse extra-utérine avec le stérilet hormonal Jaydess, rappel des recommandations

Une étude EPI-PHARE sur 29 000 femmes vaccinées contre le VRS entre 32 et 36 semaines d'aménorrhée (SA)(recommandations HAS) ne montre aucune augmentation du risque de naissance prématurée, d’accouchement dans les semaines suivant la vaccination, d’enfant mort-né, de petit poids de naissance, de césarienne, d’hémorragie du post-partum ou d’événements cardiovasculaires graves. Cette étude soutient les recommandations en vigueur qui préconisent une vaccination entre 32 et 36 SA

EPI-PHARE : nouvelle étude de pharmaco-épidémiologie, +25% de risque de troubles neurodéveloppementaux (TND) chez l’enfant après une exposition paternelle au valproate durant la spermatogenèse (période de trois mois avant conception). Rappel des restrictions de prescription déjà existantes depuis début 2025

Après les déclarations du Président Trump sur un lien démontré entre prise de paracétamol chez les femmes enceintes et risque d'autisme, les agences sanitaires française, européenne et mondiale ont démenti tout lien démontré. Le paracétamol reste le médicament le plus sûr pour soulager les douleurs d’intensité légère à modérée et faire chuter la fièvre pendant la grossesse. L'automédication est déconseillée pendant la grossesse. A lire: une excellente mise au point scientifiq

Etude EPIPHARE dans Neurology, sur 55 801 grossesses exposées à au moins un antiépileptique de 2013 à 2021 : baisse des grossesses exposées de 80 % pour le valproate et dérivés, de 30 à 40 % pour le topiramate et la carbamazépine. Hausse de 30 % pour la prégabaline (à risques malformatifs), et pour la lamotrigine et le lévétiracétam, sans risques connus. L’exposition aux antiépileptiques à risque avéré ou incertain concerne plus souvent des femmes défavorisées sur le plan so

Le National Cancer Institute et l'Université d'Oxford ne trouvent pas de lien entre le risque de cancer du foie et la prise de contraceptif oral passée ou en cours, quel que soit le type de cancer, dans une analyse sur plus de 1,5 millions de femmes, 2956 cas de cancer du foie et la revue supplémentaire de 23 études. Une légère augmentation du risque pour une utilisation de plus de 5 ans est possible, mais avec de possibles biais, et très peu de cancers induits du fait de l

Dans le numéro d'avril-juin 2025 (n° 128) du bulletin édité par le Centre Régional de Pharmacovigilance du CHU de Tours, quatre articles en lien avec la gynécologie: Bradycardie fœtale à 37 SA à 100/mn durant plus de 10 mn, après perfusion de fer injectable Etude transversale française:risque de déplacement de DIU triplé avec une coupe menstruelle Synthèse des effets secondaires graves des fluoroquinolones Contraception et méningiome : rappel des recommandations ANSM pour le

ANSES: la consommation élevée et répétée de boissons et d’aliments contenant de la réglisse peut entraîner une diminution du potassium dans le sang et une hypertension artérielle, et donc le risque cardiovasculaire, en particulier chez les femmes enceintes ou allaitantes et les enfants, et les personnes à risque d'hypertension artérielle. Il faut donc éviter le cumul des sources de réglisse (boissons de type pastis alcoolisés ou non , sirops, confiseries, tisanes ou complémen

Une étude d'EPI-PHARE à partir des données du SNDS de 2010 à 2023 révèle l'effondrement de l'utilisation de l'acétate de chlormadinone (LUTERAN) ou l'acétate de nomégestrol (LUTENYL) de 97 %. Au total le nombre de méningiomes opérés attribuables à l'exposition à ces deux progestatifs a été divisé par 10 en cinq ans, de 152 femmes opérées en 2018 à 15 en 2023., malgré 4 fois plus d'IRM cérébrale chez les femmes sous progestatifs depuis un an (22 % en 2023 contre 5% des femmes

Une étude écossaise confirme l’efficacité de la vaccination sur la réduction du risque de cancer du col utérin (- 78 % en schéma complet)

surrisque très faible de méningiome chez les femmes de plus de 45 ans, lors de l'utilisation prolongée et en cours de désogestrel

Légère augmentation récente des IVG (1 pour 3 naissances), à 80 % médicamenteuses, à 20% par des sages-femmes. IMG stables, accès inégal.

Une étude Epi-Phare montre que le taux de vaccination contre la coqueluche chez les femmes enceintes a atteint plus de 60 % en 2023-2024

Enquête sur les violences sexistes et sexuelles (VSS) dans le milieu médical, 21 000 répondants, 1 femme sur 2 déclare en avoir été victime

Le nombre de naissances est au plus bas en 2023, en raison surtout de la chute de la fécondité, à 1,75 enfant en moyenne par femme.

Recommandations de 09/24 sur le bilan de santé infectiologique des femmes et enfants migrants en France depuis moins de 4 mois dans l'idéal

La HAS recommande la vaccination anti-VRS (Abrysvo) au 8ème mois de grossesse, en alternative de l'injection de Beyfortus au nouveau-né.

Rapport des effets secondaires déclarés après la 1ère dose de Gardasil 9 au collège: des effets post-vaccinaux connus et non graves

Une étude sur plus de 8,5 M d'enfants nés en France de 2010 à 2021 ne montre pas d'augmentation globale du risque de cancer après PMA

Etude française sur 18 000 femmes: risque augmenté avec médrogestone, promégestone et DMPA, pas avec laprogestérone ni les DIU hormonaux